Saint Pie XII le Grand, Pastor Angélicus, Pape (2-3-1939 au 9-10-1958)
Docteur. Grand Mystique. Stigmatisé. Martyr Spirituel. Apôtre de la Paix. De Rome, en Italie. Pontificat ; du 2 mars 1939 au 9 octobre 1958. Ce glorieux Pape, appelé au siècle Eugenio Pacelli, est né le 2 mars 1876 d’une famille illustre. Il a été ordonné Prêtre en 1899. Personnage de grande qualité et profondément pieux, il a brillamment réussi ses études de Philosophie, de Théologie, de Droit Civil et de Droit Canonique. Il était professeur à l’Université Grégorienne et ensuite a occupé un poste au Secrétariat d’État. En 1917, il a été nommé Archevêque, et cette même année, il a été envoyé comme nonce apostolique à Munich, puis à Berlin. En 1929, Saint Pie XI l’a nommé Cardinal. L’année suivante, il a occupé le poste de Secrétaire d’État. Le Pape Saint Pie XII a acquis un grand prestige, même en dehors de l’Église, pour ses excellents dons d’intelligence, de culture, de capacité de travail, de sobriété et de forte personnalité. Il s’est distingué de manière très particulière dans le domaine de la doctrine. Il souhaitait que le Collège des Cardinaux comprenne le plus grand nombre possible de représentants des pays des cinq régions du monde. Il est mort à Castelgandolfo, à environ vingt-cinq kilomètres de Rome, et sa dépouille mortelle a été solennellement transférée dans cette ville.
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Le Pape Saint Pie XII le Grand, fouet illustre contre ; Les hérétiques multiples. Fouet énergique contre les francs-maçons, les révolutionnaires et autres idéologues sataniques. Éminente Faux contre la franc-maçonnerie, l’agnosticisme, le modernisme, le socialisme, le communisme, le capitalisme sauvage, le libéralisme et d’autres idéologies sataniques. Marteau distingué contre les tyrans. Machette précise contre les auteurs de livres anticatholiques, les propagateurs d’obscénités et les dirigeants et éducateurs laïcistes. Bâton ferme contre les fêtes sacrilèges et obscènes. Ce glorieux Pape n’a jamais communié avec la maudite idéologie nazie d’Hitler ni avec la maudite idéologie du fascisme de Mussolini. Ce glorieux Pape, dans un décret apostolique, a condamné le communisme en tant que doctrine matérialiste et antichrétienne, totalement opposé à Dieu, à la vraie Religion et à l’Église du Christ. Il a interdit, sous peine d’excommunication réservée au Pape, de se faire inscrire auprès du parti communiste ou de le soutenir, ainsi que de publier, de diffuser ou de lire tout écrit qui défend ses doctrines aberrantes et ses activités. Par conséquent, il a déclaré comme apostats de la Foi catholique, ceux qui professent la doctrine matérialiste et antichrétienne des communistes, ainsi que ceux qui la défendent et la propagent. Il a fermement condamné l’agnosticisme, qui nie que la compréhension humaine a la capacité de connaître l’existence de Dieu, et il a fermement condamné le modernisme. Le Pape Saint Pie XII a fait de son mieux pour éviter la terrible conflagration de la Seconde Guerre Mondiale, demandant aux puissances européennes en conflit ouvert de régler leurs différends de manière pacifique, et il a proposé des moyens d’arrangement et d’accord, bien que tout cela n’ait servi à rien. Au milieu de la catastrophe mondiale, le Pape a manifesté sa profonde consternation paternelle face à la ruine et aux souffrances indicibles de l’humanité. Par des messages de paix, il a travaillé sans relâche pour limiter la propagation de la guerre, pour atténuer ses effets destructeurs et les conséquences inhumaines entre les peuples vaincus et pour atteindre la paix. Mais sa voix n’a pas été entendue. Il a eu recours à la prière d’une manière spéciale, en organisant des croisades spéciales pour la pacification du monde, et il a exhorté les dirigeants à s’efforcer d’atteindre une paix rapide et digne. La charité du Pape pendant la Deuxième Guerre Mondiale était véritablement héroïque, sans prendre en compte les conditions religieuses, ethniques ou nationales. Il se souciait principalement des blessés et des prisonniers de guerre, essayant de rendre leurs conditions de vie plus humaines, et il a fait tout son possible pour limiter les expulsions et l’extermination systématique des populations civiles. Et pour les aider plus efficacement, à sa demande, son Sous-secrétaire d’État, Jean Bautista Montini, a ouvert un bureau d’information au Vatican pour faciliter la localisation de nombreux soldats disparus. Saint Pie XII a promu de grandes collections nationales pour répondre aux besoins de nombreuses personnes, en particulier des enfants victimes de la guerre. Lors du bombardement de Rome, à l’été 1943, Saint Pie XII, marchant sur des décombres et des ruines a prodigué toutes sortes de consolations aux victimes. La charité paternelle de Saint Pie XII envers des milliers de personnes dans le besoin était universellement reconnue : rapatriement, fourniture de nourriture et de vêtements, fourniture de médicaments et d’assistance médicale aux malades, et établissement de colonies pour héberger des enfants, etc. Il a également protégé d’innombrables Juifs persécutés par les nazis et un grand nombre d’entre eux ont survécu grâce à l’aide de l’Église Catholique. Saint Pie XII, dans ses discours, se référant aux horreurs nazies, a condamné les meurtres commis pour des raisons racistes. Cependant, après la fin de la guerre, une campagne, principalement communiste, a été lancée pour dénigrer le Souverain Pontife, affirmant qu’il était resté impassible devant les souffrances du monde. Mais le Pape avait magistralement rempli sa mission pendant la Deuxième Guerre Mondiale, sans être influencé par la propagande de l’un ou de l’autre camp, et sans aucune interférence, pouvait continuer à diriger l’Église Universelle. Après la guerre, Saint Pie XII a adressé un message radio au monde entier, afin que la paix soit vraie et fondée sur l’harmonie et la justice. L’action du Pape en faveur de la paix était une constante de son Pontificat. Ce glorieux Pape, à travers des encycliques transcendantales, a enrichi le trésor doctrinal de l’Église. Dans ses documents respectifs, il a parlé de l’Église en tant que Corps Mystique du Christ. Dans d’autres, il a exalté la dignité de la famille, que l’État doit respecter ; il a présenté la mission de la famille dans la société, encourageant la prière en famille et mettant l’accent sur les devoirs matrimoniaux. Dans ses discours et ses écrits, il a défendu la dignité et les droits du travailleur, en proclamant que l’Église défend les aspirations justes des travailleurs, dans leurs différents types de professions et de métiers. Dans son discours à l’Association des Enseignants Catholiques, il a souligné la haute mission des enseignants en tant que délégués et représentants des parents dans l’éducation de leurs enfants. Dans une allocution devant un grand nombre de malades, il a exposé la valeur incommensurable de la souffrance. Dans ses discours il a également fait référence à l’industrie dans ses différentes facettes, le sport, etc. Il a dirigé des messages édifiants vers différentes représentations d’hommes catholiques ; il a fait d’importantes observations morales aux médecins catholiques ; il a exhorté le travail des Missions Catholiques, inculquant aux prêtres le véritable esprit missionnaire ; il a accordé un grand intérêt à la bonne organisation des séminaires, à la promotion des vocations sacerdotales et à la formation solide de candidats au sacerdoce. De la même manière, il a encouragé le véritable esprit dans les différents Ordres et Congrégations religieuses. Dans une constitution apostolique, il a donné l’entrée officielle à une nouvelle forme de consécration à Dieu par l’approbation des Instituts Séculiers. Il a mis un grand intérêt à cultiver, entre autres, les mouvements apostoliques de l’Action Catholique, les Congrégations Mariales et l’Apostolat de la Prière. Il n’y avait pratiquement aucun thème religieux que le Pape n’a pas abordé dans ses discours ni dans ses écrits apostoliques. Saint Pie XII a béatifié et élevé à la Gloire des Autels, un nombre considérable de bienheureux. Il a promulgué l’Année Mariale de 1954 en commémoration du premier centenaire de la proclamation du dogme de l’Immaculée Conception de Marie. Le Pape Saint Pie XII, dans sa Constitution Apostolique du 1er novembre 1950, après avoir exalté l’inimaginable grandeur de la Mère de Dieu, a proclamé, déclaré et défini infailliblement: « Que l’Immaculée Mère de Dieu, toujours Vierge Marie, une fois achevé le cours de sa vie terrestre, a été assumée en Corps et Âme dans la Gloire Céleste ». Le 27 août 1953, le Saint-Siège a signé un nouveau Concordat avec l’Espagne, alors régi par le Généralissime et Caudillo Saint Francisco Franco Bahamonde. Le Concordat a confirmé une série d’accords conclus par le gouvernement du Caudillo avec le Saint-Siège au cours des années précédentes, et a reconnu, dans son sens le plus large, les droits de l’Église et de la Religion Catholique en tant que religion officielle et unique de l’État Espagnol. Ce Concordat a toujours été considéré comme un modèle. Le glorieux Pape Saint Pie XII, le Grand, a toutefois commis de grandes erreurs dans son Pontificat : sans une étude préalable et consciencieuse, il a condamné arbitrairement les Apparitions Célestes du lieu sacré de Heroldsbach en Allemagne. Il a pris sa retraite du Nonce Apostolique à Madrid, par lequel il s’est plié aux ordres sataniques et maçonniques donnés par le grand maître de la franc-maçonnerie du 33ème degré, le président américain, Truman, qui a décrété le blocus international contre le régime chrétien espagnol du Saint Caudillo Francisco Franco Bahamonde. Cédant aux demandes répétées des porte-paroles de nombreux clergé séculiers confortables, il a remplacé le Scapulaire traditionnel du Carmel par une médaille, un changement qui n’a pas plu à la Vierge Marie, car Elle a manifesté son désaccord total en divers endroits. Canonisé par le Pape Saint Grégoire XVII Le Très Grand, le 12 septembre 1978. Déclaré Docteur de l’Église par le même Pape le 15 octobre 1978.
Le Pape Saint Jean XXIII, Pastor et Nauta, Pape (28-10-1958 au 3-6-1963)
Calendrier Palmarien : Grand Mystique. Stigmatisé. Martyr Spirituel. Apôtre de la Dévotion Mariale.
De Sotto il Monte-Bergamo, Italie. Pontificat : du 28 octobre 1958 au 3 juin 1963.
Ce glorieux Pape, appelé au siècle Ángel José Roncalli, est né le 25 novembre 1881 et venait d’une famille de paysans modestes. Il a étudié au séminaire de Bergame. Le 10 août 1904, il a été ordonné Prêtre. De 1905 à 1914, il était secrétaire de l’Évêque de Bergame et professeur du séminaire. Pendant la Première Guerre Mondiale, il était Aumônier militaire où il a démontré son esprit d’abnégation et de sacrifice. En 1921, il a occupé un poste élevé de directeur de la Congrégation pour la Propagation de la Foi. En 1925 il a été consacré Évêque à Rome. En 1953, il a reçu le chapeau de cardinal et a été nommé Patriarche de Venise. Il a mené une vie de prière constante et de pénitence. Ce glorieux Pape, à cause de sa bonté et de sa naïveté, a été utilisé par les ennemis de l’Église.
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Lors du voyage en train de Venise au Conclave dans lequel il a été élu Pape, une colombe blanche s’est posée sur le compartiment où il était monté. Sa devise malachienne était « Pastor et nauta », ce qui lui convenait parfaitement, étant une personne très confiante et compréhensive, et Patriarche de Venise. Saint Jean XXIII était l’auteur du très pieux livre autobiographique « Journal d’une âme ». « Certes, le Concile Vatican a été convoqué par Notre Vénérable Prédécesseur, le Pape Saint Jean XXIII, face aux terribles événements relatés dans le Secret de Fatima. Le Pape, effrayé par le contenu du Message de Fatima, a senti l’inspiration du Saint-Esprit pour convoquer le Concile. Lors des premières sessions de ce Concile, le Saint-Esprit volait encore au dessus de la salle conciliaire dans laquelle les Pères Conciliaires s’étaient réunis. Après les premières sessions, la salle du Concile était le reflet de l’humanité avant le Déluge Universel. Le Saint-Esprit s’est retiré du Concile, comme il l’avait fait lorsqu’il s’était retiré des hommes, à cause de la prévarication générale de l’humanité qui précédait le châtiment du Déluge Universel. Le Saint-Esprit, qui s’était retiré du peuple, est entré dans l’Arche de Noé pour diriger cet homme juste. Avec le Concile Vatican II et l’optimisme du Pape Saint Jean XXIII, tout le monde s’attendait à un beau printemps pour l’Église. Mais la triste réalité était que le printemps attendu est devenu l’hiver le plus dur et le plus orageux que l’Église ait connu… Il ne fait aucun doute que le Pape Saint Jean XXIII a été contraint et manipulé par les francs-maçons ». Le paragraphe suivant sur le conciliabule Vatican II est tiré du Traité de la Sainte Messe des Saints Conciles Palmariens : « Nous réitérons, encore plus ouvertement, notre condamnation du soi-disant Concile Vatican II. Bien que ce Concile ait été convoqué par le Pape Saint Jean XXIII, inspiré par le Saint-Esprit, peu après, sous l’influence oppressante d’une grande partie des pères conciliaires maçonniques et progressistes, ainsi que par la lâcheté et le respect humain de nombreux traditionalistes, l’objectif sain a été prostitué, en tirant des conclusions ouvertement erronées et ambigües ; ce qui montre que le Saint-Esprit avait été expulsé de la salle conciliaire pour permettre à Satan d’y entrer. C’est pourquoi le Concile Vatican II, en ce qui concerne son développement et ses conclusions concertées, n’est pas l’œuvre du Saint-Esprit, mais du diable. Et, même si dans les actes conciliaires, il y a une partie de la vraie doctrine, elle est mélangée avec des hérésies terribles et des ambiguïtés ; puisque la franc-maçonnerie, camouflant ainsi le mal, facilitait davantage l’acceptation par les catholiques des textes conciliaires ; et les ennemis de l’Église pourraient ainsi plus facilement atteindre leurs fins perverses. Si nous examinons les documents doctrinaux des différents réformateurs maudits Luther, Calvin, etc., nous y trouvons aussi, entre hérésies et corruptions, quelques vérités de la foi, ce qui révèle une tactique malveillante, afin que l’on croie plus facilement à la nécessité et à la légitimité de ces réformes infernales. Le Concile Vatican II, en ce que ses écrits contiennent des hérésies, des ambiguïtés et des objectifs pervers vers lesquels les francs-maçons et les progressistes l’ont dirigé, est illégitime, néfaste et abominable, et donc sans aucune autorité dans l’Église. Cela dit, nous ne noircissons en rien l’autorité illustre et infaillible, ainsi que la bonne foi des Saints Pères les Papes Jean XXIII et Paul VI, qui dirigeaient l’Église au moment du Concile. En ce qui concerne le premier des Pontifes, Jean XXIII, ses ennemis ont abusé de sa paternité, de sa bonté et de son optimisme excessifs au lieu de s’en bénéficier pour leurs conversions ». « Dans cette terrible agonie qui le préparait au passage à l’autre vie, il a purifié avec de terribles douleurs une partie des erreurs de son pontificat, puisqu’à sa mort il est passé instantanément par le Purgatoire ». Canonisé par le Pape Saint Grégoire XVII le Très Grand le 24 octobre 1978. 17 août 1979. Une vision décrite par le Pape Saint Grégoire XVII :
Nous sélectionnons le paragraphe suivant dans les Documents Papaux du Pape Saint Grégoire XVII sur Saint Jean XXIII : « Il avait une dévotion toute particulière pour la Sacro-sainte Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ. Ce saint Pape aimait beaucoup le Précieux Sang du Rédempteur. Il professait un amour filial et ardent pour la Très Sainte Vierge Marie. Saint Jean XXIII a démontré avec une grande clarté son ardente dévotion Mariale, puisque chaque jour il priait avec dévotion les quinze Mystères du Saint Rosaire Traditionnel, l’Angélus et d’autres pieuses dévotions en l’honneur de Marie. Saint Jean XXIII avait la coutume pieuse de se confier et de se consacrer chaque jour à la Vierge Marie. Ce saint Pape professait également un grand amour pour le très glorieux Saint Joseph. Sa vie personnelle était celle d’un Prêtre sans tache ». Dans les Litanies des Saints, il a décidé d’élever Saint Joseph et de le placer après la Vierge, en disant : « C’est sa place ».
Lors d’une visite à sa mère âgée peu après son élection au poste de Pape, celle-ci, en le voyant, lui a remarqué qu’il était tout habillé de blanc. Ce à quoi il a répondu : « Et toi, maman, tu es aussi toute habillée de blanc » – pour son innocence baptismale.
Le Credo Palmarien dit : « Je crois que le Diable, Lucifer, a été libéré, par permission divine, pendant le Pontificat du Pape Saint Jean XXIII, afin de cribler et de purifier davantage l’Eglise ».
Le Conciliabule Vatican II a eu lieu de 1962 à 1965. Les paragraphes suivants sont tirés des Documents Papaux du Pape Saint Grégoire XVII Le Très Grand : « Il a été annoncé qu’à la fin des temps, un Ange ouvrirait la porte au diable. Certes, San Jean XXIII, s’appelait Ángel José. Cet Ange n’a pas ouvert la porte pour blesser l’Église, mais il croyait en la bonté des autres et, étant bon lui-même, il était incapable de penser à la méchanceté des autres. Nous prenons la défense de la Sainte Personne du Pape Saint Jean XXIII. Les erreurs qui se sont produites dans le gouvernement de l’Église pendant son pontificat ne peuvent pas lui être imputées dans leur totalité ; car, ce saint Pape a été utilisé, à cause de sa bonté, par les ennemis de l’Église. Ce Pape était incapable de penser mal aux autres ; Il faisait confiance à tout le monde, croyant en la bonté apparente de ceux qui l’entouraient ».
« Le Seigneur est d’abord apparu ; Il était vêtu du Christ Roi, vêtu de blanc avec une cape rouge, avec un Sceptre et une Couronne. Puis est venue la Sainte Vierge, Notre Mère du Palmar Couronnée, avec la Couronne Impériale, le Manteau Royal. Puis est venu Saint Joseph, également couronné. Il y avait Saint Pierre et Saint Paul, Saint Jacques l’Apôtre, Saint Jean l’Évangéliste, Saint Pie IX, Saint Pie XII, Saint Jean XXIII, Saint Paul VI, Sainte Thérèse de Jésus, Saint Ignace de Loyola, Saint Francisco Franco et Saint José Antonio Primo de Rivera ; et une multitude incalculable d’Anges, vêtus de grandes parures ; et au sommet on pouvait voir le Père Éternel et le Saint Esprit ».
Le Pape Saint Paul VI, Flos Florum, Pape (19-6-1963 au 6-8-1978)
Calendrier Palmarien : Pape. Docteur. Grand Mystique. Stigmatisé. Le grand Martyr du Vatican. Éminent Protecteur du Saint-Siège Palmarien.
De Concesio-Brescia, Italie. Pontificat : du 19 juin 1963 au 6 août 1978.
Ce glorieux Pape, appelé au siècle Juan Bautista Montini, est né le 26 septembre 1897. Il a été ordonné Prêtre en 1920. En 1924, il a été affecté au Secrétariat du Vatican ; y en 1937, il a été nommé remplaçant du Secrétariat d’État, fonction qu’Eugenio Pacelli occupait. Après avoir exercé différentes fonctions pendant trente ans au Vatican, il a été consacré Évêque en 1954 et affecté au diocèse de Milan. En 1958, il a été nommé Cardinal. La vie du Pape Saint Paul VI était exemplaire et vertueuse. Il vivait consacré à la prière et à la pénitence et, bien sûr, au sacrifice constant, car son Pontificat était une ascension pénible au Calvaire. Ce glorieux Pape, pendant une grande partie de son Pontificat, a été drogué par des membres pervers de la Curie Romaine afin d’affaiblir sa volonté pour qu’il soit à leur merci.
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Il existe de nombreux Messages Célestes du Palmar (et d’autres lieux d’Apparitions), plus d’une centaine du Palmar, qui parlent de la situation du Pape Saint Paul VI pendant son Pontificat. Ils sont extrêmement importants et essentiels pour comprendre sa Papauté. Notre Seigneur Jésus-Christ a ainsi daigné assister son Église en ces années terribles, en clarifiant la situation du Pape persécuté, connaissance essentielle pour que les fidèles puissent s’orienter face à l’apostasie croissante de l’Église Romaine ; car il était impossible de comprendre sans l’orientation du Ciel. En même temps, le principal voyant du Palmar, Clemente Domínguez y Gomez, aujourd’hui Pape Saint Grégoire XVII, est souvent envoyé pour apporter des messages aux Évêques et aux Prêtres et pour donner des conférences dans différentes nations et continents afin d’apporter la vérité à toute l’Église. Le 17 mai 1970 (Lieu Sacré du Lentisque au Palmar de Troya. Dimanche de Pentecôte. Apparitions et Messages à Clemente Domínguez 🙂 Notre Seigneur Jésus-Christ : Je vous appelle, et peu d’entre vous répondent à mes appels. D’autres font des pas très lents et d’autres courent très vite. Il faut chercher le moyen, et le moyen est en Moi. À partir d’aujourd’hui, vous aimerez davantage ma Très Sainte Mère, la Vierge Marie. Vous obéirez promptement à mon Vicaire Paul VI, Rocher infaillible, le Pape qui est crucifié par ses propres enfants, ce qui augmente encore sa douleur, car il voit que les brebis s’égarent, que sa voix ne trouve pas l’écho approprié, et d’autres avec malice la combattent, et d’autres vont jusqu’à nier son Pontificat ; mais Moi, qui assiste mon Église jusqu’à la consommation des siècles, Je ne permettrai pas à mes élus d’être trompés. Je vous le dis : N’ÉCOUTEZ PAS DE MOTS CONTRE LE PAPE PAUL VI, ÉLU PAR LE SAINT-ESPRIT. Il se réjouira pour l’éternité, car il jouira de la contemplation de mon Glorieux Visage Divin, miroir de mon Auguste Divinité. Priez beaucoup pour lui ; il souffre comme vous ne pouvez l’imaginer ; mais il est déterminé à donner sa vie pour Moi ; il m’est fidèle et il est vraiment dévoué à ma Très Sainte Mère ; c’est pourquoi Elle le couvre de son Saint Manteau. Maintenant Je vous bénis ». Le Père Éternel : Le Pape Saint Grégoire XVII Le Très Grand dans ses Documents Papaux dit : « En ce qui concerne Notre Vénérable Prédécesseur, le Pape Saint Paul VI, nous dirons que son pontificat était une authentique Voie Douloureuse qui le conduisait au Golgotha. Ce saint Pape a vécu son pontificat chargé d’une lourde croix. Pour les progressistes, il était rétrograde. Pour les extrémistes traditionalistes, il semblait être un hérétique, parfois comme un antipape et même comme un Antéchrist. Ce Pape se sentait pratiquement seul. Si d’autres Papes précédents utilisaient le surnom de prisonnier, il ne fait aucun doute que ce Pape était le prisonnier par excellence. Certains Papes précédents vivaient comme des prisonniers de la maison, à l’intérieur du Vatican ». « Disons que les geôliers et les bourreaux des anciens Papes vivaient généralement hors des murs du Vatican. Le Pape Saint Paul VI vivait au Vatican, entouré d’ennemis qui agissaient comme des geôliers et des bourreaux. Ce saint Pape a passé un pontificat soumis à de fortes doses de drogue, administrés par ses bourreaux; qui étaient des cardinaux, des évêques, des prêtres, etc., etc. Parmi ces bourreaux le cardinal Juan Villot, le cardinal Juan Benelli, le cardinal Sebastian Baggio, et le cardinal Poletti se sont distingués ; et entre autres, Casaroli qui était le ministre des affaires étrangères, un grand traître qui a ouvert la voie au dialogue satanique avec les marxistes, s’est aussi distingué. Le Pape Saint Paul VI n’était pas à blâmer pour les hérésies introduites, car il vivait sous la contrainte et soumis à la drogue. La signature du Souverain Pontife a également été falsifiée et des documents falsifiés ont également été portés à la connaissance du public. Les francs-maçons et autres hérétiques infiltrés dans la Curie Romaine ont atteint le point de détruire la Messe authentique, de la modifier et de la remplacer par la messe hérétique du grand franc-maçon et traître, Bugnini ». « Paul VI, Nous savons qu’il a été victime de la franc-maçonnerie du Vatican, qui le soumettait à de fréquents lavages de cerveau au moyen de drogues, ce qui conduisait parfois la main impeccable du Pape à signer ce qu’il ne devait pas, bien que dans la plupart des cas, ils aient falsifié sa signature ». Le Pape Saint Paul VI est mort empoisonné par une overdose de drogue fournie par le cardinal pervers, le grand franc-maçon du 33e degré, Juan Villot, qui est dans le feu éternel de l’Enfer. Le Pape Saint Paul VI a été canonisé par le Pape Saint Grégoire XVII le Très Grand le 24 octobre 1978. Nous disposons également du témoignage de certains fidèles qui corrobore ce qui précède : un médecin spécialisé dans la toxicomanie, lors d’une audience en 1970, a vu que Saint Paul VI avait été drogué. La même année, lors d’une visite de la Basilique de Saint-Pierre, une fidèle est sortie brièvement par une porte à l’extérieur et a vu par une fenêtre deux clercs traîner Saint Paul VI à travers une pièce. Un autre fidèle, lors d’une audience, a vu que Saint Paul VI, à la fin de son discours préparé, voulait s’approcher du micro pour dire autre chose, mais le cardinal Villot est intervenu et l’a habilement empêché de le faire, etc.
« Mes enfants, Je vous ai promis, le jour de mon Ascension, de vous envoyer le Consolateur. Je vous l’envoie pour qu’il vous fortifie dans la Foi, vous remplisse de charité et d’amour pour tous vos frères, afin que vous ne perdiez jamais espoir. JE SUIS LA VIE. Je vous dis, mes enfants, que celui qui se repent vraiment de ses péchés, recevra le souffle du Saint-Esprit, qui vous donnera une grande foi et une grande compréhension pour comprendre cette Grande et Majestueuse Apparition des Derniers Temps.
« Mes enfants : Toutes les paroles que vous avez entendues viennent de mon Divin Fils Jésus, en qui J’ai mis toute mes complaisances. Il est votre Pasteur et Il parle au Pasteur terrestre, actuellement Paul VI. Votre bien-aimé Pape parle au nom de Jésus. En lui obéissant, vous obéissez à Jésus-Christ, votre Sauveur. Restez toujours avec lui, il est le Rocher inébranlable sur lequel le Christ a laissé sa puissance ; c’est en le suivant que vous serez sauvés, et n’écoutez pas les paroles qui contredisent l’esprit de votre Pasteur Suprême Paul VI ; et celui qui nie ce Pontificat, il vaudrait mieux pour lui qu’il ne soit pas né. Je me réfère, bien sûr, aux enfants de l’Église Catholique, dont on ne peut attendre de telles paroles, car elles offensent le Saint-Esprit, un péché indélébile, dont le jugement est la damnation éternelle. Je vous bénis ».
« Nous anathématisons le soi-disant « Novus Ordo Missæ ». C’est à dire, la messe préparée et imposée en novembre MCMLXIX. Car, il n’est pas possible que Dieu ait inspiré une messe qui a été élaborée et réalisée par des hérétiques. Nous proclamons devant le Jugement sans appel de Dieu et le Jugement de l’Histoire que cette nouvelle messe n’est pas l’œuvre de Notre Vénérable Prédécesseur, le Pape Paul VI. Car, nous proclamons ouvertement que nous savons que Notre Prédécesseur a été terriblement contraint et soumis à la drogue. Par conséquent, sa signature Papale a été obtenue de force, laissant la volonté droite du Souverain Pontife annulée… »
Le Pape Saint Grégoire XVII Le Très Grand, De Glória Olívæ, Pape. (6-8-1978 au 21-3-2005)
Docteur. Très Éminent Réformateur de la Vie Sacerdotale et Religieuse. Très zélé et illustre Rénovateur du Saint Sacrifice de la Messe et Réformateur des Saints Rites et des Saintes Coutumes. Protecteur Très Efficace, de l’Église, Une, Sainte, Catholique Apostolique et Palmarienne. Élu directement par le Christ. Mystique Sublime. Stigmatisé. Martyr spirituel. Injustement calomnié et trahi. Aveugle complètement tout au long de son Pontificat. Exalté Fondateur et Réformateur. Patriarche du Palmar de Troya. Très Zélé Guide et Gardien des ouailles. Très Efficace Protecteur du Saint-Siège Palmarien. Messager Apocalyptique. Flux Très Éminent de Doctrine et de Discipline. Astre Solaire Très Lumineux de l’Église.
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Le Pape Grégoire XVII, appelé au siècle Clemente Domínguez y Gómez, est né à Séville, Espagne, le 23 Avril 1946. Il était le fils de Raphael et de Sainte Marie Louise, canonisée par son propre fils. Très jeune, des signes très évidents de sa future gloire comme Pape se sont manifestés dans Clemente Domínguez. Il est descendu de la tribu de Juda, et unissait en lui-même, le sang noble de l’Espagne avec le vrai sang de la France. Il s’est distingué toujours par son grand amour pour la Très Sainte Vierge Marie et sa dévotion à la Sainte Face. La Très Sainte Vierge Marie était apparue pour la première fois au Palmar de Troya Séville, Espagne, le 30 Mars 1968, au lieu du Lentisque, qui est maintenant à l’intérieur de la Cathédrale-Basilique Palmarienne, où l’on vénère la Sainte Face du Seigneur et l’Image de Notre Mère du Palmar Couronnée. Saint Grégoire fréquentait El Palmar, mais son engagement définitif à cette Sainte Œuvre a eu lieu le 15 Août 1969. La première vision céleste du jeune Clemente Domínguez et Gómez était le 30 Septembre 1969, au lieu du Lentisque. Depuis, il est devenu le voyant principal du Palmar. Le Ciel lui a prodigué des apparitions merveilleuses. Ses extases étaient d’une grandeur, profondeur et beauté indescriptibles. Les nombreux messages qu’il a reçus étaient un appel continu du Seigneur et de la Vierge Marie, à la prière et la pénitence ; une invitation angoissée pour tout le monde d’aller au Palmar, et une dénonciation de l’hérésie et du progressisme qui ravageaient sans pitié l’Église. Dans sa vie de laïc comme voyant principal des Apparitions du Palmar de Troya, Clemente Dominguez y Gómez, alors encore très jeune, a dû lutter vaillamment pour faire connaître les très compromettants messages que Notre Seigneur Jésus-Christ et la Très Sainte Vierge Marie lui donnaient pendant de nombreuses années. Sa loyauté envers Dieu, a été bien prouvée. Le jeune Clemente Domínguez y Gómez s’est entretenu avec les plus hauts Hiérarchies de l’Église Romaine, majoritairement corrompus, en Espagne et dans de nombreux autres pays d’Europe et d’Amérique, et face à leur obstination, il a confronté beaucoup de ces Dignitaires pour faire valoir les droits de Dieu et de l’Église comme le Seigneur et la Vierge Marie lui avaient ordonné. Il a rendu visite au Cardinal Saint Alfredo Ottaviani à plusieurs reprises, à sa résidence à Rome, pour faire présenter au Pape Paul VI, les messages relatifs à l’Eglise et à son Pontificat, dont certains contenaient les noms et d’autres détails sur des cardinaux et des évêques traîtres. À une occasion, dans un geste de courage suprême, Clemente Domínguez a livré les messages du Palmar au Pape Paul VI, dans l’une de ses audiences papales. Il a été persécuté, dans le Lieu même des Apparitions du Palmar de Troya, par beaucoup de ceux qui fréquentaient le Lieu Sacré, et bien à blâmer étaient les autres voyants qui avaient lâchement trahi leurs propres messages, et ainsi avaient discrédité ceux que Clemente avait reçus. Clemente Domínguez y Gómez, dès le début, est devenu le grand Apôtre de la Sainte Face de Notre Seigneur Jésus-Christ et du Saint Rosaire Pénitentiel, dont les dévotions ont été très combattues et qu’il a dû défendre avec courage. Le 2 février 1970, par ordre du Seigneur à Clemente Domínguez, il a intronisé dans le Lieu Sacré du Lentisque du Palmar de Troya, la Sainte Face de Jésus, la même qu’on vénère actuellement. Et le 12 septembre 1972, également par ordre du Seigneur, l’Image de la Très Sainte Vierge Marie qui est vénérée aujourd’hui sous le titre de Notre Mère du Palmar Couronnée a été intronisée dans le Lieu Sacré du Lentisque par le même voyant. Clemente Domínguez y Gómez était le grand défenseur du Pape Saint Paul VI et il a révélé au monde, avec courage et détermination, que ce Pape était une victime de la franc-maçonnerie du Vatican, et que les maçons lui avaient administré des médicaments puissants pour annuler sa volonté. Clemente Domínguez, encore très jeune, a reçu la grâce des Stigmates de la Passion du Christ, dans les mains, sur le front et au côté droit ; des mystères qui se sont répétés après à plusieurs reprises. Certaines de ces plaies ont été reçues en présence de nombreuses personnes qui fréquentaient le Lieu Sacré du Palmar. Le 23 décembre 1975, Clemente Domínguez y Gómez, a fondé l’Ordre des Carmes de la Sainte Face. Le 1er janvier 1976, il a été ordonné Prêtre par l’Archevêque Saint Pierre Martín Ngô-dinh Thuc, au Lieu Sacré du Lentisque du Palmar de Troya, et le 11 janvier de la même année, il a été consacré Évêque par le même Dignitaire qui était venu de Rome pour remplir une telle mission transcendantale. Après sa consécration en tant qu’Évêque, le Père Clemente Domínguez, par ordre du Ciel, a ordonné et consacré beaucoup d’autres, formant ainsi le Collège Épiscopal du Palmar de Troya. Tout cela a été à l’origine d’une terrible persécution, promue par l’Archevêque de Séville, José María Bueno Monreal, au point que Clemente a été enfermé une nuit dans les cachots du commissariat d’Utrera avec le Père Manuel Alonso Corral; et le lendemain matin, le 6 avril 1976, tous les deux ont été emmenés de la prison d’Utrera au Tribunal d’Instruction, où d’autres religieux de l’Ordre les attendaient. La décision du juge était d’emprisonner les Pères Fondateurs, Clemente Domínguez et Manuel Alonso à Séville. La seule solution était qu’ils partent tous à l’étranger. Le juge a consenti et il a libéré tout le monde à condition que, le même jour, ils quittent Séville pour se rendre en France. C’est ainsi que le Père Fondateur a été exilé avec dix-sept Évêques, huit Presbytères et deux laïcs ; mais ils pouvaient rentrer à Séville à la fin du mois d’avril de la même année. Toutefois, dans le Tribunal d’Instruction d’Utrera, un procès a été engagé contre Clemente Domínguez, Manuel Alonso et dix-huit autres Évêques du Palmar, pour usurpation de fonctions et usage abusif de l’habit ecclésiastique, pour les consécrations et pour les actes de culte accomplis au Palmar de Troya. Le 11 avril 1977, l’Audience Territoriale de Séville a jugé que les conditions nécessaires à l’existence des infractions imputées n’existaient pas, déterminant un non-lieu ; et de cette façon, le procès des vingt Évêques Palmariens susmentionnés a terminé. Le 29 mai 1976, lors d’un de ses infatigables voyages apostoliques, l’Évêque Clemente Domínguez, a perdu les deux yeux dans un accident de voiture, ce qui était inimaginable pour lui. Cependant, en tant qu’aveugle, il a continué avec la même intensité apostolique en Espagne, et dans les autres nations d’Europe et d’Amérique. Le 4 août 1976, Notre Seigneur Jésus-Christ, dans l’une de ses merveilleuses Apparitions, a promis au Père Clemente, tel qu’il était alors, la Primauté de l’Église, avec ces mots : « Tu seras le futur Pierre. Le Pape qui consolidera la Foi et l’intégrité dans l’Église, qui combattra avec force les hérésies, car tu seras assisté de légions d’Anges … Le Grand Pape Grégoire, la Gloire des Olives ». Le 1er janvier 1977, l’Évêque Père Clemente a couronné canoniquement l’Image Sacrée qui préside aujourd’hui dans le Camarin du Lentisque sous le titre de Notre Mère du Palmar Couronnée. Des années plus tard, il a également couronné l’image du Très Saint Joseph et celle de Sainte Thérèse de Jésus. Le 20 janvier 1977, par ordre de la Très Sainte Vierge Marie, l’Évêque Père Clemente a changé son prénom en celui de Père Ferdinand. Par la volonté expresse de Dieu et jusqu’à la mort du Pape Saint Paul VI, l’Évêque Père Ferdinand a occupé la très haute dignité de Vice-vicaire du Christ dans l’Église. Le 6 août 1978, alors que l’Évêque Ferdinand était à Santa Fe de Bogotá, en Colombie, le Pape Paul VI est décédé. À partir de ce moment, par ordre de Dieu, il a occupé la Cathèdre de Saint Pierre, au nom de Grégoire XVII, de Glória Olívæ. Peu de temps après, notre Seigneur Jésus-Christ est apparu, accompagné des Saints Apôtres Pierre et Paul, et Il a déposé sur la tête du nouveau Pape le Tiare Sacré, le couronnant ainsi d’une manière mystérieuse et profonde. Entre autres choses, le Seigneur lui a dit : « Seuls les simples et les humbles de cœur reconnaîtront le vrai Pape : le Pape Grégoire XVII. Le grand pontificat de la Gloire des Olives commence. Le Pape annoncé par beaucoup de mystiques, par beaucoup de prophéties ». Il a également annoncé que l’antipape sortirait du conclave de Rome. Dans le grand événement de l’Apparition de Notre Seigneur Jésus-Christ, aussi présent était l’Évêque Secrétaire d’État, le Père Isidore Marie, Manuel Alonso au siècle, aujourd’hui le Pape Saint Pierre II Le Grand. Le 9 août de la même année, le Vicaire du Christ, Saint Grégoire XVII, est arrivé en avion en provenance de Colombie au Palmar de Troya. De cette manière mystérieuse, la Cathèdre de Saint Pierre a été transférée de Rome au Palmar de Troya qui est devenu le Siège apostolique de la véritable Église : l’Une, Sainte, Catholique, Apostolique et Palmarienne, également appelée Église Chrétienne Palmarienne des Carmes de la Sainte Face. Le 15 août de la même année, le Couronnement Officiel et Solennel du Souverain Pontife Palmarien a eu lieu, c’est-à-dire son couronnement extérieur et visible, par les mains de quatre Évêques, qui lui ont imposé le Sacré Tiare. C’est ainsi qu’a commencé l’histoire de la Papauté au Palmar de Troya, avec la mission de restaurer et de maintenir l’intégrité doctrinale et disciplinaire de l’Église du Christ, au moyen de réformes profondes et d’enseignements magistraux. Après la mort du Pape Saint Paul VI, l’apostasie générale de l’église romaine a été consommée, et dès lors elle a cessé d’être la véritable Église du Christ. Cette apostasie a entraîné avec elle toute l’humanité catholique, à l’exception des quelques restants qui ont tenu ferme dans la vraie doctrine de l’Église : les fidèles palmariens sous le bâton du véritable Vicaire du Christ, le Pape Saint Grégoire XVII, avec Siège au Palmar de Troya. En opposition avec la vérité, un faux pasteur a été nommé dans le siège apostat romain : le sinistre antipape Jean Paul 1er, le maçon, un loup déguisé en mouton, dont la devise était « De Medietáte Lunæ », qui signifie « Du Croissant de Lune », symbole des schismes et des hérésies ; et après son pseudo et éphémère pontificat, un autre faux pasteur a été nommé : l’antipape Jean-Paul II, maçon féroce et précurseur de l’Antéchrist, dont la devise est « De Labóre Solis », qui signifie « L’Éclipse du Soleil », et qui a osé se tenir entre le Soleil, le Pape Saint Grégoire XVII et l’humanité, donnant lieu à la plus grande éclipse spirituelle connue jusque-là. L’antipape Jean-Paul II était le plus grand propagateur d’hérésies et d’autres corruptions. Le Pape Saint Grégoire XVII le Très Grand, brandissant son épée flamboyante, était un terrible fléau contre toutes les hérésies et autres corruptions, disséminées dans le monde entier par les semeurs de l’iniquité. Ce Vicaire du Christ a anathématisé énergiquement les antipapes de l’église apostate romaine et tous ses adeptes. Ce Souverain Pontife, en tant que Gardien Zélé de la maison du Seigneur, surveillait la porte du bercail que le Christ lui avait confiée, empêchant que les loups féroces pénètrent pour disperser et dévorer les ouailles ; et à son tour il a expulsé ceux qui, camouflés, cherchaient à corrompre l’Église de l’intérieur. Ce grand « Caudillo del Tajo », avec les canons de sa doctrine infaillible et de sa discipline inflexible, a proclamé la Grande Croisade de la période apocalyptique au moyen d’un édit doctrinal et disciplinaire, mais guerrier, pour la défense des droits de Dieu et de l’Église ; avec Lui a commencé le « Caudillaje del Tajo », et donc le Caudillaje des Carmes ou des Crucifères des Derniers Temps. Le Pape Saint Grégoire XVII a fait de nombreux voyages apostoliques : en Europe, en Amérique, en Asie, en Océanie et en Afrique, prêchant partout. Dans l’un d’entre eux, le plus long, il a visité les diocèses palmariens des cinq continents. À plusieurs reprises, il s’est rendu à Jérusalem et dans d’autres villes d’Israël liées à la Vie, la Passion et les autres mystères du Christ et de Marie. Le Pape Saint Grégoire XVII était le grand Messager Apocalyptique. Grâce à ses messages, le monde est arrivé à connaître avec une totale véracité ce qui concerne ces Derniers Temps ou l’Époque Apocalyptique. Il a eu le courage et l’audace de témoigner des grands événements. Grâce à sa fidélité aux messages reçus de Dieu, l’humanité est consciente du contenu du message secret de Fatima, manipulé et trahi par la voyante même, la réprouvée sœur Lucie de Fatima, qui a conspiré avec l’antipape, le réprouvé Jean Paul II et d’autres hautes dignitaires de l’église apostate romaine. La sœur Lucie de Fatima a trahi la vérité du message secret de Fatima, pour faire plaisir aux grands dignitaires du Vatican. Le message secret de Fatima est fondamentalement le suivant : Le communisme et la franc-maçonnerie monteront au sommet et à d’autres postes élevés du Vatican ; ce qui s’est consommé avec l’établissement de l’anti-papauté à Rome après la mort du Pape Saint Paul VI. Après la mort de la Sœur Lucie de Fatima, notre Seigneur Jésus-Christ est apparu au Pape Saint Grégoire XVII le 22 février 2005 et lui a donné le message suivant : « L’apostate Sœur Lucie de Fatima est dans le feu éternel de l’Enfer ». Le Pape Saint Grégoire XVII a mené à bien la tâche la plus difficile et la plus transcendante d’assurer la continuité, dans le Lieu Sacré du Palmar de Troya, de la Sainte Église fondée par Notre Seigneur Jésus-Christ. Il est le grand restaurateur et réformateur des Saints Rites et Saintes Coutumes. Grâce à son travail inlassable de Souverain Pontife et de Maître infaillible, il a enrichi considérablement le trésor doctrinal et disciplinaire de l’Église et a consolidé la Foi et l’intégrité. Saint Grégoire XVII était un Pape géant. C’est la raison pour laquelle le Pape Saint Pierre II, le Grand, lui a attribué le titre de « Très Grand », qui n’a été accordé à aucun autre Pape après Saint Pierre 1er. Parmi ses grandes œuvres pontificales, les suivantes sont remarquables : Une cinquantaine de Documents Papaux. Des Définitions Dogmatiques sans fin. D’innombrables Décrets, Lettres et Notes Apostoliques. D’innombrables Canonisations de membres illustres du Corps Mystique du Christ. De Nombreux voyages apostoliques à travers les cinq continents. La convocation, l’ouverture solennelle, la présidence, la direction, l’approbation, la signature et la clôture solennelle, du Premier Saint, Grand, et Dogmatique Concile Palmarien. La convocation, l’ouverture solennelle, la présidence, la direction, l’approbation, la signature et la clôture solennelle du Deuxième Saint, Grand et Dogmatique Concile Palmarien. Pourtant, d’autres fruits de son très fécond Pontificat étaient les suivants : le Credo Palmarien, le Traité de la Messe, le Catéchisme Palmarien, la Morale Palmarienne, le Traité de la Très Sainte Trinité, le Code de Droit Canonique Palmarien, et surtout l’Histoire Sacrée ou Sainte Bible Palmarienne. Il est par excellence le Pape de la Sainte Bible, car, dans son énorme ouvrage doctrinal, il était le premier Pape qui a effectué l’interprétation infaillible de la Bible Officielle de San Jeronimo, appelée la Vulgate, ainsi que les autres versions bibliques, dans lesquelles la Parole de Dieu est mélangée à de nombreuses erreurs et de nombreuses manipulations d’hommes. La publication de la Sainte Histoire ou de la Sainte Bible Palmarienne est une victoire retentissant pour le Pape Saint Grégoire XVII contre les stratagèmes de Satan et de ses laquais infernaux et terrestres, car la Sainte Bible Palmarienne contient la Parole de Dieu dans son authenticité et sa pureté absolues, et par conséquent, maintenant libérée des erreurs et des manipulations qui l’ont contaminée et l’ont obscurcie sensiblement. Le Pape Saint Grégoire XVII, en tant que Docteur Universel, a enseigné magistralement: « La Bible a autorité en vertu de l’interprétation infaillible du Magistère de l’Église. » Le Pape Saint Grégoire XVII a été terriblement combattu, même par la grande majorité de ses compatriotes sévillans, car ils l’ont traité de fou, d’imposteur, d’hérétique, de schismatique, de filou, d’affairiste et d’autres adjectifs péjoratifs. Sans aucun doute, tout cela venait en grande partie de l’envie incontrôlable qu’ils avaient devant la grandeur de ses œuvres. À Séville, sa ville natale bien-aimée, il était considéré comme un personnage sinistre. Un jour, les Sévillans regretteront de ne pas avoir reconnu à temps Saint Grégoire XVII, l’un des plus grands Papes de l’Histoire de l’Église. Quand ils s’en rendront compte, ils n’auront pas assez de mouchoirs pour essuyer leurs larmes et ils iront au Palmar pour manger les pierres de ce Lieu Sacré, Siège Apostolique de l’Église, où les plus grandes Apparitions Célestes ont eu lieu, celles qu’ils ne voulaient pas reconnaître non plus à cause de leur obstination. Une fois encore, les paroles du Seigneur s’accomplissent : « Je vous le dis en vérité, aucun prophète n’est accepté ni honoré dans sa patrie. » Le Pape Saint Grégoire XVII a été favorisé par de grandes visions et messages depuis le début du Palmar. Il était un mystique d’un très haut degré. Ses visions étaient innombrables étant donné que Notre Seigneur Jésus-Christ et la Très Sainte Vierge Marie lui apparaissaient très souvent. Ses visions du Père Éternel, du Saint-Esprit, de Saint Joseph et d’un grand nombre de Saints étaient également nombreuses. Il a pénétré, grâce à ses extases exaltées, dans de grands mystères, dont beaucoup ont été divulgués et d’autres réservés pour lui-même. Plusieurs fois, il a été emporté dans la contemplation de l’Essence Divine. Il bénéficiait également du don de pénétrer à l’intérieur des âmes, de ce qu’il donnait de multiples preuves irréfutables. Ses messages sont très nombreux, de contenu très varié, de sagesse éclairée et de richesse doctrinale. Très souvent, il recevait des locutions célestes pour de nombreuses affaires concernant la Sainte Église, l’Ordre et d’autres problèmes. Il était l’un des prophètes les plus remarquables de l’Histoire de l’Église. Bien que le Siège Apostolique de l’Église Palmarienne soit le Lieu Sacré du Palmar de Troya, le Pape Saint Grégoire XVII a résidé à Séville jusqu’au 24 juillet 2003, date à laquelle il s’est installé dans la « Finca de Notre Mère du Palmar Couronnée », où se trouve la Cathédrale-Basilique Palmarienne, dans le village du Palmar de Troya, à Utrera, dans la province de Séville. Le glorieux Pape Saint Grégoire XVII le très Grand est décédé le 21 mars 2005, Lundi Saint, à 15h 30, dans sa cellule de la Maison Papale, à la « Finca de Notre Mère du Palmar Couronnée », El Palmar de Troya. Cependant, bien qu’il soit mort le 21 mars, 2005, le glorieux Pape Saint Grégoire XVII le Très Grand, a consommé, d’une façon sublime, sa vie féconde pendant qu’il célébrait le Saint Sacrifice de la Messe de la veille, le 20 mars, sur le Maître-Autel de la Cathédrale-Basilique de Notre Mère du Palmar Couronnée ; car, c’est au Sacro-saint Autel, qu’il est tombé gravement malade et il a été crucifié mystiquement sur la Croix du Calvaire, puisque la Sainte Messe est le même Sacrifice du Calvaire ou Sacrifice de la Croix. Cela est l’aspiration suprême que chaque Ministre du Seigneur doit avoir ; et, par conséquent, le plus grand honneur qui puisse y avoir pour un Prêtre. Le Pape Saint Grégoire XVII a été solennellement canonisé par son successeur le Pape Saint Pierre II, le Grand, le 24 mars 2005, pendant la Fête de Jeudi Saint. Le 23 avril 2005, le Pape Saint Pierre II, le Grand, l’a proclamé Très Grand Docteur de l’Église. Le 29 juillet 2005, le Pape Saint Pierre II, le Grand, a défini de manière infaillible que l’âme du Pape Saint Grégoire XVII le Très Grand, de Glória Olívæ, n’est pas passée par le Purgatoire, mais elle est allée directement au Ciel.
ACTE DE LA NOUVELLE STIGMATISATION DU VOYANT CLEMENTE DOMINGUEZ GOMEZ AU PALMAR DE TROYA (UTRERA, SEVILLA, ESPAÑA)
Le Pape Saint Pierre II, le Grand, De Cruce Apocalýptica, Pape. (21-3-2005 au 15-7-2011)
Grand Docteur. Calomnié et trahi injustement. Cofondateur de l’Ordre des Carmes de la Sainte Face. Patriarche du Palmar de Troya. Deuxième colonne principale de l’Église du Christ dans le désert spirituel du Palmar de Troya. Protecteur et Défenseur de la Sainte Église Chrétienne Palmarienne. Collaborateur Magnanime dans la Doctrine et la Discipline Palmarienne. Brûlant du Zèle d’Elie. Elevé Astre Solaire de l’Église
Appelé au siècle Manuel Alonso Corral, il est né à Cabeza del Buey-Badajoz, en Espagne, à six heures du matin du jeudi, 22 novembre 1934, jour de Sainte Cécile, vierge et martyre ; et pour cette raison on lui a donné Cecilio comme deuxième nom de baptême. Quelques jours plus tard, il a été baptisé dans l’Église Paroissiale.
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Son père, Joseph Alonso Píriz, était originaire de Zamora, et de profession, Maître National ; il était profondément catholique et fidèle aux idéaux politiques du Mouvement National. Sa mère, Julianne Corral García, fervente catholique, canonisée par son fils le Pape Saint-Pierre II le 8 mai 2011, est née dans une ville appelée Alhocén, Guadalajara, mais ses parents étaient originaires et vivaient au Vellón-Madrid. Les parents de Manuel Alonso se sont rencontrés et se sont mariés pendant que son père exerçait la profession d’enseignant dans cette dernière ville jusqu’à son affectation à Cabeza del Buey. Ils ont eu sept enfants, cinq garçons et deux filles, Manuel étant leur quatrième. Il a vécu, dans son enfance, dans sa ville natale, la glorieuse guerre civile espagnole, dans la zone rouge jusqu’à peu de temps avant la fin. Là, à Cabeza del Buey, il a dû subir les malheurs et l’insomnie de la situation belliqueuse que vivait l’Espagne. Son père, connu comme enseignant catholique et très fidèle à la cause de Saint Francisco Franco, a été soumis à la persécution des communistes de la ville, sans que cela l’ait fait fléchir dans sa fermeté ; et, même si sa vie était en danger, il a rejeté toujours, avec un héroïsme indescriptible, toute offre favorable qui impliquait la trahison de ses saints idéaux religieux et politiques. La famille a dû subir des bombardements, des abris, des fuites à la campagne, jusqu’à ce que son père ait réalisé l’exploit courageux et inoubliable de passer avec sa femme et ses trois très jeunes enfants, de la zone rouge à la zone nationale, entre deux fronts, vers la ville de Zamorra où ses parents vivaient. Après la fin de la guerre en 1939, quand il avait cinq ans, sa famille est sortie de Zamora, et s’est installée au Vellón-Madrid, où vivaient les sœurs de sa mère et avec elles, son frère Jésus, qui était immédiatement plus âgé que lui. Peu de temps après, ils sont retournés à Cabeza del Buey, jusqu’à la nomination de leur père comme enseignant au Vellón, où Manuel a fait sa Première Communion. De là, en 1944, à l’âge de neuf ans environ, il s’est installé à Madrid, où son père exerçait son métier définitivement. Madrid était la ville où il avait grandi et il l’aimait tellement qu’il se considérait comme un Madrilène dans son cœur autant ou plus que s’il y était né, et il était profondément imprégné de ses coutumes merveilleuses et typiques, de ses traditions pieuses, et de ses traditions et son héritage culturel, historique et politique. Les premières études officielles qu’il a faites à Madrid étaient à l’Institut Vázquez de Mella. À l’âge de onze ans, il a réussi l’examen d’entrée pour passer le Baccalauréat à l’Institut Saint Isidro. Ici, il a étudié les sept années du Baccalauréat Supérieur de l’époque. Le 12 juillet 1954, dans l’ancien bâtiment de l’Université centrale, Il a réussi à l’examen de revalidation, ou examen final, lui donnant droit au titre de « Bachelier » En octobre de la même année, il a commencé sa carrière de Droit, selon le plan libre, car une maladie l’empêchait de toujours assister aux cours. Il faut souligner que les pieux parents de Manuel voulaient donner à lui et à ses frères une solide formation religieuse, car ils pratiquaient la religion avec le plus grand soin et se soumettaient à la Sainte Mère l’Église. Autant que l’on puisse s’en souvenir, personne ne les a jamais entendus prononcer un seul mot offensif ou dédaigneux contre un Prêtre. Ses parents, alors que les enfants étaient encore jeunes, souhaitaient, avec un zèle admirable, les emmener à la Messe, à la Confession et à la Sainte Communion au moins tous les Dimanches, jours fériés et les Premiers Vendredis du mois. Grâce à Dieu, pendant son enfance et sa jeunesse, bien qu’avec des hauts et des bas naturels, il a mené une vie de piété et d’apostolat dans la catéchèse paroissiale et dans les milices de l’Action Catholique, collaborant intensément avec ses deux frères aînés, Joseph et Jésus, qui occupaient des postes. Son frère, Saint Joseph Alonso Corral, est devenu Président de la Jeunesse. Il a vécu sa jeunesse à Madrid avec une grande joie car, malgré les nombreuses souffrances de la famille dues à de graves maladies, il vivait avec des illusions ; parmi elles, ses études, la littérature, et l’art. Son père les emmenait souvent à des concerts, à des représentations de théâtre classique, au musée du Prado et à de nombreux autres lieux culturels. Cependant, son plus grand espoir était d’atteindre la vie religieuse un jour. Combien il a souffert pour cette cause ! Car il a toujours vu son désir d’entrer dans un couvent contrarié à cause de sa très mauvaise santé. Il a vécu de nombreuses années avec un cœur brisé pour cette raison. Cependant, il nourrissait toujours un espoir qui se concrétiserait plus tard au Palmar de Troya-Séville, en Espagne. L’âge de dix-huit ans était important pour lui, car il devenait plus conscient de la vie spirituelle et se livrait pleinement aux pratiques religieuses, atteignant un profond amour pour la pureté. Dans l’Église de San Pedro el Real à Madrid, plus connue sous le nom de l’Église de La Paloma, il a rencontré une vieille dame appelée Maria Valiente López. Grâce à elle, il a appris de grandes choses sur la vie spirituelle, en particulier sur la dévotion envers Notre Mère du Perpétuel Secours, de laquelle il devait recevoir tant de faveurs. En tant que Pape, il canoniserait ladite femme le 21 juin 2009. Dès l’âge de dix-huit ans, il a commencé à entrer en contact avec les Pères Rédemptoristes et il était enthousiasmé par l’esprit missionnaire rural de cet Ordre Religieux et par la profonde dévotion qu’ils professaient à la Très Sainte Vierge Marie sous l’invocation de Notre Mère du Perpétuel Secours. Il était attiré par leur piété de telle manière qu’il a pris un de ces frères comme directeur spirituel. Sa dévotion à la Sainte Vierge est devenue presque une folie, car il ne savait pas passer un moment sans penser à Elle. Il voulait s’assurer de sa protection. À cet effet, à l’âge de dix-huit ans, le 25 juillet, fête de Saint Jacques, il a fait un vœu solennel d’esclavage marial devant le tableau de Notre Mère du Perpétuel Secours ; vœu qu’il a renouvelé, chaque année, à partir de là jusqu’à sa mort. Il se sentait extrêmement protégé par la Vierge et mettait tout son espoir en Elle. Mais la dévotion mariale n’était pas une simple exclamation de ferveur, Elle lui a inspiré un grand amour de l’Eucharistie et il a essayé de ne pas manquer un seul jour la Sainte Messe et la Sainte Communion et en plus, de prier le Saint Rosaire. À cette époque, il souffrait d’une maladie pulmonaire et il y avait peu d’espoir de guérison rapide, car s’il faisait le moindre effort pour mener une vie normale, il retombait malade et devait rester au lit. Chaque année, il se rendait avec ferveur à la neuvaine que les Rédemptoristes faisaient à Notre Mère du Perpétuel Secours. Puisqu’il souffrait beaucoup à cause de sa maladie, il demandait à la Très Sainte Vierge de le guérir. À la fin de 1955, il a commencé à avoir la certitude que, lors de la prochaine neuvaine à Notre Mère du Perpétuel Secours, Elle le guérirait complètement, une confiance qui se renforçait en lui chaque fois qu’il regardait l’image de Notre Mère du Perpétuel Secours. Le 7 février 1956, à sa grande tristesse et à celle de toute la famille, son saint frère Joseph est décédé. Au mois de mai suivant, il a assisté comme d’habitude à la neuvaine de la Vierge. Depuis lors, il n’a plus jamais été atteint d’une maladie pulmonaire. Les médecins qui l’ont vu par la suite ont été stupéfaits de voir à quel point il était guéri. Quelques mois après la mort de son frère, en 1956, alors qu’il était en bonne santé, il a commencé à travailler à la Commission de l’Énergie Nucléaire, grâce à l’un de ses cousins qui y occupait un poste d’ingénieur des mines. C’était une grande joie pour lui de pouvoir gagner sa vie tout en poursuivant ses études de Droit, pour lesquelles il ressentait un attrait singulier. Ses progrès dans cette profession lui ont coûté de gros efforts et un sacrifice presque héroïque, car, à cause de son travail, il devait se lever très tôt tous les jours afin de ne pas manquer la Sainte Messe et la Sainte Communion, parce que la journée de travail commençait à huit heures du matin et se terminait à six heures de l’après-midi avec une brève pause pour manger. Le travail conclu, il restait dans son bureau pour étudier jusqu’à très tard et il rentrait chez lui après. Il souffrait beaucoup du manque de sommeil ; parce qu’il avait peu de temps pour dormir et en plus, il avait du mal à s’endormir. Son souci de recevoir quotidiennement la Sainte Communion le conduisait très souvent à faire de grands sacrifices et il a noté maintes fois l’intervention de Dieu afin de ne pas être privé de la nourriture surnaturelle. Il était très courant pour lui de parcourir les rues de Madrid à la hâte, cherchant d’une église à l’autre pour recevoir la Sainte Communion, profitant des pauses entre les cours lorsqu’il allait à l’université l’après-midi. Il manquait rarement la Sainte Communion, puisqu’il la cherchait chaque jour avec beaucoup de véhémence. Il a obtenu son Diplôme en Droit en juin 1963. C’était une grande joie pour lui, car cela lui avait coûté de nombreuses épreuves ; tandis que d’autres, après le travail du bureau, allaient se distraire, ou du moins se reposer, il restait enfermé à étudier pendant de longues heures. En 1964, La Commission de l’Énergie Nucléaire lui a accordé une bourse pour suivre un cours d’Études Commerciales. Le nouveau cours impliquait également de grands sacrifices pour lui. À la fin de ses travaux à la Commission, il devait assister à des cours de sept heures à dix heures du soir, puis, à la maison, commencer à étudier. Si avant il dormait peu, maintenant moins. Mais ces études lui donnaient plus d’avantages pour pouvoir remplir ses devoirs religieux ; puisque, dans le collège des Jésuites dans lequel il étudiait ce cours, il y avait, logiquement, une chapelle où il lui était facile d’entendre la Messe et de recevoir la Sainte Communion. Le cours d’Études Commerciales a duré trois ans et, grâce à Dieu, il a terminé chaque cours avec de très bonnes notes ; surtout le dernier, même s’il était malade au lit avec l’hépatite pendant un mois et avait besoin d’un autre mois de convalescence. En juin 1967, il l’a complété avec le titre correspondant de Diplômé. Il partageait son travail et ses études avec l’apostolat de l’Action Catholique. En outre, il visitait les hôpitaux le dimanche pour enseigner et réconforter les malades. Jusqu’à vingt-huit ans, sa vie d’apostolat était très intense puisqu’il y consacrait tout son temps libre. À une occasion, il a pratiqué les Exercices Spirituels de Saint Ignace en interne chez es Jésuites, où il a été assuré qu’il ne serait pas du tout bon pour la vie religieuse ; néanmoins, ces exercices lui ont été d’une grande utilité et expérience. Il a également participé aux Stages de Christianisme, qui ont renforcé sa spiritualité, qui commençait déjà à décliner. Mais, dès l’âge de vingt-huit ans, lorsqu’il avait plus de contacts avec le monde, il s’est retrouvé entraîné par ses faiblesses humaines, jusque-là presque endormies en lui, et il devait lutter constamment pour se relever après les chutes ; mais, malgré ses nombreuses chutes, il n’a jamais abandonné complètement, car il confessait et recevait très souvent la Sainte Communion. C’étaient alors des années de grande souffrance intérieure, de désolation indescriptible et presque de désespoir. Mais au milieu de ce tourbillon noir, il a appris au moyen d’un rêve que la Très Sainte Vierge Marie l’aiderait à vaincre Satan, avec une nouvelle résurgence de sa vie spirituelle ; qui serait réalisé plus tard au Palmar de Troya. Dans le rêve, il a vu qu’une grande ombre le jetait dans un terrible précipice et que quelqu’un le prenait entre leurs mains, le libérant de tomber dans l’abîme. Il a toujours été un grand amateur de littérature et d’art. Comme déjà indiqué, son père lui a appris, et à ses frères aussi, l’amour d’un bon livre, de la peinture et d’autres événements culturels non contraires à la loi de Dieu. Sa mère avait moins de temps pour cela, à cause de ses nombreuses occupations à la maison, mais elle partageait également les loisirs de son mari. Il était passionné par chaque œuvre littéraire; surtout la poésie. Dès son plus jeune âge, il lisait les classiques espagnols : Sainte Thérèse de Jésus, Saint Jean de la Croix, Cervantes, Lope de Vega, Tirso de Molina, Saint Pierre Calderón de la Barca, etc, et aussi, les sommités du romantisme, les contemporains, etc… Il a réussi à écrire un bon nombre de poèmes et il a remporté le premier prix de poésie dans un concours de poésie ; mais, lorsqu’il est devenu religieux, il a brûlé tous ses écrits. Vers la fin de 1966, alors qu’il suivait encore le cours d’Études Commerciales, Manuel a rencontré à Madrid, par l’intermédiaire d’un ami, le Supérieur des Frères de Saint Jean de Dieu, qui résidait à Séville, au Couvent du Sanatorium de Notre Père Jésus de la Grande Puissance. Sans que Manuel ne lui propose quoi que ce soit, ce supérieur lui a offert un poste dans la compagnie d’Assurances et les Ateliers de cette œuvre, afin qu’il puisse l’organiser sur le plan administratif et comptable. Manuel a dit oui, mais il a expliqué qu’il devait encore terminer son deuxième cours. Il était très enthousiaste à l’idée de venir vivre à Séville, une ville qu’il avait visitée deux fois auparavant et qui l’avait séduit par sa beauté extraordinaire. Après ses études, il a demandé un congé de la Commission de l’Énergie Nucléaire et il a obtenu un an. Le 15 janvier 1968, il est arrivé à Séville en voiture, accompagné de sa mère et d’un frère. Le Supérieur des Frères de Saint Jean de Dieu l’a reçu avec beaucoup d’affection et de considération. Il a commencé son travail en contrôlant tout l’argent déposé dans les banques et caisses d’épargne espagnoles, en raison de la grande campagne menée par ledit Supérieur pour la construction de la Ville de Saint Jean de Dieu dans la province de Séville. Plus tard, il s’est consacré au contrôle et à l’organisation de la Compagnie d’Assurances Saint-Raphaël et Saint-Jean de Dieu, à cette époque dans un état chaotique, mais avec beaucoup de travail et de prudence, il a pu la remettre sur la bonne voie. Il était très heureux de travailler dans cette œuvre. Il était très aimé et respecté par tous, religieux, enfants et employés. Il travaillait avec beaucoup d’enthousiasme, surtout parce que c’était un travail catholique et social. Il ne pensait jamais aux sacrifices et il appréciait la grande confiance de ces supérieurs et les autres religieux. Sa venue à Séville, une belle capitale, était bientôt liée à l’un des événements les plus transcendants de l’histoire : Les Apparitions de la Très Sainte Vierge Marie au Palmar de Troya et son amitié avec le voyant principal, Clemente Domínguez et Gomez. Le 30 mars 1968, la Sainte Vierge du Carmel est apparue pour la première fois sur un lentisque du domaine de La Alcaparrosa à quatre filles du village : Rafaela, Ana, Josefa et Ana. Cette plante, appelée lentisque, était très abondante sur le domaine. Du lentisque de la première apparition, il ne reste plus rien, car les dévots coupaient les branches comme des reliques précieuses. À la place exacte, une petite Croix de bois a été placée et autour d’elle on priait et les voyants recevaient les visites célestes. Plus tard, alors que Clemente était un voyant, la Face Sacré de Jésus et l’Image de Notre Mère du Palmar ont été placées dans l’endroit du Lentisque. De cette façon, l’endroit choisi par la Très Sainte Vierge a été préservé. Après les quatre premières filles, d’autres voyants ont émergé : Rosario Arenillas, du Palmar de Troya, le 14 avril 1968; María Marín, d’Utrera, le 20 mai 1968, et María Luisa Vila, de Séville, le 6 juin 1968. Et, la même année : Antonio Romero, José Navarro (Cayetano), Manuel Fernandez, Antonio Anillos et d’autres, tous des habitants du Palmar de Troya. Plus tard, Arsenia Llanos, de Jerez de la Frontera, a également été choisie comme voyante. Malheureusement, tous ces voyants ont par la suite trahi l’œuvre du Palmar et ont abandonné, pour différentes raisons, ce Lieu Sacré des Apparitions. Manuel a rencontré Clemente à Séville le 18 mai 1968 ; et c’était au moment précis, déterminé par la Providence, de pouvoir connaître, suivre et partager les étapes qu’il vivrait comme voyant. Depuis sa rencontre avec Clemente, leur amitié est devenue de plus en plus proche et sincère. Clemente est né dans cette ville de Séville, le 23 avril 1946, dans une maison très proche de l’actuelle Cathédrale apostate romaine. Il travaillait dans un bureau en tant que comptable et son mode de vie était simple. Dans les premiers jours de cette amitié et après une conversation, Clemente lui a révélé qu’en une semaine, il avait eu deux rêves : la Très Sainte Vierge lui était apparue et lui avait imposé l’habit de Saint-Dominique. Clemente lui a dit tout cela en toute simplicité, et Manuel n’y a pas accordé beaucoup d’importance. Mais Clemente, sûr de la transcendance de ces rêves, a réaffirmé catégoriquement : ‘je serai dominicain’. Quand il a rencontré Clemente, Manuel avait déjà visité le lieu des Apparitions, il était simplement curieux, tout en maintenant un certain respect et un certain intérêt. Il a parlé de Palmar avec Clemente, qui avait déjà visité le lieu aussi, et dans la voiture de Manuel, ils se sont rendus au Lieu des Apparitions. Au cours des diverses visites qu’ils ont effectuées au cours de l’année 1968, leur position était d’une curiosité respectueuse, car ils admettaient au fond qu’il pouvait y avoir quelque chose de surnaturel. C’était le 15 octobre 1968. Ils ont appris que la Très Sainte Vierge avait appelé, par l’intermédiaire de Maria Marin, pour que beaucoup viennent au Palmar ce jour-là. Clemente et Manuel sont allés au Palmar la nuit. Quand ils sont arrivés, tout avait fini, car il était près de onze heures du soir. Cependant, à cette heure, quelque chose de désagréable les attendait. Quand ils sont arrivés à la porte de la propriété, ils ont remarqué qu’il y avait encore un groupe de personnes dans le Lentisque. Ils circulaient, comme s’ils dansaient en cercle autour d’une femme, et tout en riant sarcastiquement, ils chantaient les Ave du Rosaire, au milieu des éclats de rire et des applaudissements diaboliques. On pouvait discerner le spectacle scandaleux à cette distance, grâce aux cierges allumés au-dessus. Ils n’osaient pas monter au Lentisque. Ils ont prié des Ave et ils sont retournés à Séville. Quelque temps après, ils ont appris qu’une folle, que personne ne connaissait, avait semé la confusion parmi les personnes présentes en disant qu’elle était l’incarnation de la Vierge du Pilar. À partir de cette date, Clemente et Manuel ont presque cessé de se rendre au Palmar. Cependant, c’était au début de l’été 1969, grâce à un article publié dans le journal ABC par un Père Jésuite, en défense du Palmar, qu’ils ont de nouveau manifesté de l’intérêt pour ces phénomènes surnaturels. Une date clé est celle du 15 août 1969, fête de l’Assomption de la Vierge. Dans la matinée, Clemente et Manuel sont allés passer la journée sur les plages de Cadix. Mais, dans leur itinéraire, ils ont décidé de passer par El Palmar de Troya. Un groupe de personnes attendait un Père Jésuite qui pourrait peut-être célébrer une Messe l’après-midi. Peu après l’arrivée du Prêtre, ils ont parlé avec lui et ont décidé d’y rester toute la journée. Dans l’après-midi d’autres pèlerins sont venus. Le Père Jésuite a célébré la Sainte Messe sur un autel près du mur, à l’extérieur du domaine des Apparitions. Pendant la Messe, Maria Luisa Vila a eu une vision de la Très Sainte Vierge. C’était la première fois qu’ils avaient assisté à une extase, même s’ils n’étaient pas très près de la voyante. Ils ont reçu la Sainte Communion avec une profonde dévotion et ont été convaincus que les Apparitions du Palmar étaient vraies. Ensuite ils se sont approchés au Lentisque, où, à ce moment précis, Maria Marin voyait le Seigneur dans une merveilleuse extase. Soudain, ils ont entendu une voix puissante qui disait avec certitude: « Le Christ est ici présent ! » Tout leur être a frémi. C’était la première fois qu’ils entendaient que le Seigneur apparaissait au Palmar. Ils ont également assisté à une vision de Rosario Arenillas, sentant un fort parfum céleste. Depuis lors, leurs visites au Palmar étaient presque quotidiennes. Ils apprenaient à mieux connaître les visionnaires et recevaient la preuve de leur authenticité. Un détail très significatif est l’attention fréquente que le Seigneur et la Sainte Vierge accordaient à Clemente, à travers les différents voyants du Palmar, lui conférant une distinction singulière et lui accordant une préférence particulière. Sans aucun doute, le Ciel préparait la voie pour celui à qui, plus tard, Il confierait ses Messages les plus importants. Pour eux, la date du 14 septembre 1969, fête de l’Exaltation de la Sainte-Croix, était inoubliable. Il faisait déjà nuit. Peu de temps avant, ils avaient assisté à une extase de Maria Luisa Vila, qui les avait remplis d’une grande paix. Mais le diable, à travers une personne présente, a troublé l’âme de Manuel en la comblant de doutes. Clemente et Manuel sont allés vers la route. Une confusion atroce qui avait emprisonné son esprit l’a fait crier : « Je ne retourne plus au Palmar si la Vierge ne m’appelle pas ! » Clemente s’est mis à pleurer. Tout à coup, de l’horizon, une lumière très puissante s’est avancée lentement et s’est posée sur le Lentisque, formant une grande Croix sur un piédestal de fleurs lumineuses qui émettaient des lueurs merveilleux. L’émotion était indescriptible. Clemente et Manuel ont couru au Lentisque. Mais, à mi-chemin, la vision merveilleuse a disparu. Ils ont demandé à trois personnes qui étaient là en train de prier si elles avaient vu quelque chose. Elles les ont regardés avec étonnement, et ont répondu qu’elles n’avaient rien vu. Le visionnaire José (Cayetano) était là aussi, et il a confirmé leur vision, en entrant, peu de temps après, dans une merveilleuse extase. Ils ont continué à fréquenter El Palmar et c’était le 30 septembre 1969, lorsque Clemente a eu la première vision. Un an et demi s’étaient écoulés depuis la première Apparition au Palmar. Un certain nombre de personnes priaient au Lentisque, parmi lesquelles était la voyante Rosario Arenillas. Il commençait à faire noir. Soudain, ils ont remarqué une sorte de soupir de la part de Clemente, et il leur a dit qu’il avait vu deux silhouettes, l’une grande et l’autre plus petite, marchant lentement vers le Lentisque depuis les hauteurs de la propriété. Les deux silhouettes, qui étaient sombres et dont le voyant ne pouvait pas distinguer le visage, se sont arrêtées à quelques mètres au-dessus du Lentisque. Clemente, en même temps qu’il les voyait, était conscient de l’endroit et des gens qui l’entouraient. Il a compris, par les détails un peu indistincts de leurs corps, qu’il s’agissait du Seigneur et de Padre Pio. Après la vision, la visionnaire Rosario Arenillas, qui avait été témoin de l’Apparition, a confirmé qu’ils étaient le Seigneur et Padre Pio. Quelques jours plus tard, il a eu la même vision et dans les mêmes circonstances avec la visionnaire María Luisa Vila. À partir de ces dates, Clemente avait fréquemment des visions. Il a aussi vu la Vierge, Saint Joseph et d’autres Saints, mais de la même manière que les deux premières : sombres, sans pouvoir distinguer leurs visages. Le 8 décembre 1969, fête de l’Immaculée Conception, était une date mémorable pour Clemente. Dans la matinée, ils sont allés au Palmar pour y rester toute la journée. Un bon nombre de personnes se sont rassemblées là. Au milieu de la matinée, Clemente est entré en extase devant la vision de la Vierge Immaculée. Quelques minutes plus tard, le Seigneur est apparu en tant que le Christ Roi. C’était la première fois que le visionnaire voyait le Seigneur et la Vierge, distinguant parfaitement tous les détails de leurs silhouettes et leurs visages. Clemente est tombé au sol en extase, avec la perte de tous ses sens. À partir de cette date, toutes les visions de Clemente étaient parfaitement claires. Mais le soir, quand il faisait noir, le Ciel lui a offert d’autres visions merveilleuses. Tout d’abord, la Sainte Vierge est apparue entourée d’Anges qui portaient les habits de l’Ordre de Saint Dominique. Le Seigneur est apparu peu après, et plus tard, un Saint. Le Seigneur a dit au voyant que c’était Saint Dominique. Ce Saint Fondateur des Dominicains a annoncé à Clemente la présence de Saint Joseph, qui est également devenu visible. Le visionnaire a entendu pour la première fois la voix du Seigneur, celle de la Vierge et celle des deux Saints. Mais la vision devenait de plus en plus impressionnante. Clémente a reçu des mains de la Sainte Vierge l’habit de Saint-Dominique, que les anges lui ont apporté et avec lequel ils l’ont revêtu. Peu de temps après, il a également reçu les ornements sacrés d’un Prêtre et il a récité, en latin, les parties de la Messe, dictées par Saint Joseph, à l’exception de la Consécration. Tout cela s’est passé de manière mystique, puisque le voyant se voyait ainsi habillé dans la vision. Ceux qui l’entouraient ont discerné seulement ses gestes et sa voix. C’était une extase d’une beauté et d’une émotion indescriptibles. Clemente a reçu le premier message directement de Saint Dominique, le 10 décembre 1969, recommandant la récitation du Saint Rosaire des Notre Père. Mais ce jour-là, un événement très important s’est produit. Lorsqu’ils sont arrivés au Palmar, la porte d’entrée de du domaine, qui se trouvait à côté de la grande croix dans le mur, était fermée. C’était l’entrée primitive. Ils ont commencé à prier près de l’endroit où l’image de la Divine Pastourelle serait plus tard intronisée. Clemente est tombé en extase. Il a vu comment Saint Joseph s’est déplacé du Lentisque au mur, à côté d’eux. Le Seigneur et Saint Dominique sont également apparus. À la fin de l’extase, ils pouvaient voir comment une nouvelle porte s’était ouverte ; celle qui existe aujourd’hui. Ils pouvaient à peine surmonter leur étonnement, car personne n’avait entendu le moindre bruit. Seul Saint Antoine Vota leur a dit que, pendant l’extase, Clemente était allé poser ses mains sur le mur et celui-ci s’était effondré. Chose étrange, car il avait assez de résistance pour ne pas tomber si facilement. Clemente leur a dit que Saint Joseph s’était tenu sur le mur à la même porte. Ils ont tous compris que c’était ce Saint qui l’avait ouverte. Ils n’osaient pas entrer. Finalement, ils sont entrés un peu craintifs dans la propriété et quand ils avaient avancé de quelques mètres, Clemente a vu Saint Joseph qui, de la porte, avec son bâton, leur indiquait de monter au Lentisque. Le 12 décembre 1969, Clemente a eu une vision de Saint Dominique qui a dit: « Regarde maintenant à ma droite la Face Divine de notre Seigneur Jésus-Christ. Regarde, mon fils, la Face de Celui qui a tout donné, même son souffle, pour tes péchés et pour le monde entier », et la Sainte Face de Jésus est apparue, douloureuse et ensanglantée. Saint-Dominique lui a ensuite transmis des Messages importants sur la Sainte Face, la diffusion de l’Adoration de la Sainte Face dans le monde, le Saint Chemin de la Croix et la Communion réparatrice des Premiers Jeudis, réparant ainsi les outrages à la Face Divine du Seigneur ». Jusqu’à ce que la Sainte Face soit placée sur le Lentisque, ils portaient un tableau du Visage du Seigneur et priaient devant lui. La Sainte Face du Lentisque a été placée, par mandat du Ciel à Clemente, le 2 février 1970. L’image de la Divine Pastourelle a été placée et bénie les 1er et 2 mars 1972. Notre Mère du Palmar a été placée au Lentisque le 12 septembre 1972. Dans son travail professionnel dans l’œuvre de Saint Jean de Dieu, en raison de sa relation avec les Apparitions du Palmar de Troya, le prestige de Manuel s’est effondré, parce que les religieux considéraient que son travail dans cette œuvre était incompatible avec les Apparitions, en lesquelles il croyait fermement. Mais, Manuel n’avait jamais négligé ses devoirs professionnels. La seule raison de cette incompatibilité était que les Apparitions du Palmar, après avoir été condamnées par le cardinal apostat de Séville, Bueno Monreal, pouvaient compromettre l’œuvre de Saint Jean de Dieu. Cependant, le supérieur lâche et injuste, ainsi que les autres religieux, connaissaient son honnêteté, son professionnalisme et son intégrité catholique, puisque, en outre, dans les Apparitions, ils ont appris à être de vrais chrétiens. Mais leur peur et leur lâcheté, face à ce que les autres pourraient dire, les ont amenés à trahir leur propre conscience, et agissant injustement, ils l’ont renvoyé. Manuel Alonso a été le grand diffuseur des Messages Palmariens donnés à Clemente Domínguez et l’a accompagné dans de nombreux voyages apostoliques à travers le monde. Tous deux ont injustement perdu leur emploi pour avoir défendu avec courage l’œuvre du Palmar. Et Dieu a permis qu’à partir de ce moment-là, ils puissent se consacrer entièrement à l’apostolat. Dans les divers Messages Célestes, le Seigneur, la Vierge et d’autres Saints ont montré leur amour à Manuel, lui dédiant des mots de gratitude et de louange à travers le voyant. Et même s’il n’était pas un voyant, il avait parfois comme laïc et aussi comme Évêque, des charismes personnels qui l’affirmaient encore plus, si cela était possible, dans la vérité du Palmar. L’Œuvre Divine du Palmar de Troya a été terriblement persécutée par la hiérarchie progressive et destructrice de l’Église Romaine, dirigée alors par le glorieux Pape Saint Paul VI, martyr du Vatican, qui était au courant des Apparitions et des Messages du Palmar, livrés au Pape par le voyant même. Le Pape Saint Paul VI n’a jamais condamné l’Œuvre du Palmar de Troya. Clemente Domínguez et Manuel Alonso ont dû défendre les Apparitions Palmariennes avec beaucoup d’énergie et de ténacité. Le 23 décembre 1975, malgré de nombreux obstacles, Clemente Domínguez et Gómez, sur l’ordre de Notre Seigneur Jésus-Christ, a fondé l’Ordre Religieux : « Les Carmes de la Sainte Face en Compagnie de Jésus et de Marie », dont Manuel Alonso Corral est le cofondateur. Le 1er janvier 1976, à la demande de la Très Sainte Vierge, Clemente Domínguez et Manuel Alonso ont été ordonnés Prêtres par l’Archevêque Saint Pierre Martín Ngô-dinh Thuc, arrivé de Rome quelques jours auparavant, et le 11 janvier 1976, ils étaient tous deux consacrés Évêques. Le 29 mai 1976, à la suite d’un accident de voiture provoqué par Satan, le Père Clemente a perdu ses deux yeux. Quelques mois plus tard, par ordre du Ciel, le Père Clemente a reçu le nom du Père Fernando et le Père Manuel Alonso, le nom du Père Isidore. L’Ordre des Carmes de la Sainte Face a grandi et un grand collège épiscopal a été formé. Le 6 août 1978, à la mort du Pape Saint-Paul VI, l’Évêque Père Fernando, Clemente Domínguez y Gómez dans le siècle, dans la ville de Santa Fe de Bogotá, capitale de la Colombie, a été élu, oint, et couronné Pape directement par notre Seigneur Jésus Christ. Trois jours plus tard, le nouveau Pape, nommé Grégoire XVII, de Glória Olívæ, a transféré le Siège de l’Église de Rome au Palmar de Troya-Séville, en Espagne. C’est ainsi qu’a commencé l’histoire de la Papauté au Palmar de Troya, avec la mission de restaurer et de maintenir l’intégrité doctrinale et disciplinaire de l’Église du Christ, au moyen de réformes profondes et d’enseignements magistraux. Pour cela, le Pape Saint Grégoire XVII le Très Grand, a convoqué le Premier Saint, Grand, et Dogmatique Concile Palmarien, et le Deuxième Saint, Grand, et Dogmatique Concile Palmarien dans les Assemblées desquels le Très Révérend Père Isidore Marie, Secrétaire d’État est intervenu en tant que principal collaborateur. L’œuvre de la grande réforme a eu son point culminant avec la préparation et la publication de la Sainte Bible Palmarienne. Le Très Révérend Père Isidore Marie, sous les ordres du Pape Saint Grégoire XVII Le Très Grand, a parcouru différentes régions du monde en prêchant et en enseignant la véritable doctrine Catholique Palmarienne. Le 24 octobre 2000, le Pape Saint Grégoire XVII le Très Grand a rédigé et signé un Décret Apostolique nommant son Secrétaire d’État, l’Évêque Père Isidore Marie, son successeur à la Cathèdre de Saint-Pierre. Immédiatement après la mort du Pape Saint Grégoire XVII, le 21 mars 2005 au Palmar de Troya, le nouveau Pape a commencé son Pontificat avec le nom de Pierre II, De Cruce Apocalýptica. Le 24 mars, Jeudi Saint, son couronnement officiel a eu lieu dans la Cathédrale-Basilique de Notre-Mère du Palmar Couronnée, au Palmar de Troya, avec l’aide de tous les Évêques Palmariens, les autres membres de notre Ordre Religieux et d’un grand nombre de fidèles tertiaires de la Sainte Église Palmarienne. Le même jour, le 24 mars, Sa Sainteté le Pape Pierre II a canonisé son prédécesseur vénéré, le Pape Grégoire XVII, le Très Grand. La Papauté du Glorieux Vicaire du Christ, Pierre II, a duré six ans, trois mois et vingt-quatre jours. C’était une Papauté de grandes œuvres en faveur de l’Église, puisqu’il a écrit et a approuvé la grande œuvre de l’Histoire Ecclésiastique Palmarienne, ainsi que celle de l’œuvre de la Vie des Saints Palmariens, la Bible Infantile, la Bible Élémentaire et la Bible Intermédiaire. Il a également édité et réordonné les Messages du Palmar de Troya. Parmi ses écrits, il faut souligner ses trente lettres Apostoliques adressées à l’Église pour enseigner, corriger et encourager son Troupeau, qu’il aimait comme grand Pasteur. Il a déclaré les années 2008, 2010 et 2011, Années Saintes. Le 21 mars 2008, il a consacré solennellement l’Église militante, le Monde et l’Univers entier au Père Éternel. De même il a consacré solennellement l’Église, l’Espagne, le Monde et l’Univers entier à la Sainte Face de Notre Seigneur Jésus-Christ le 30 mars 2010. Il a également mis à jour, révisé et édité divers écrits doctrinaux. Il a élevé à la dignité de la Gloire des autels et a déclaré Docteur de l’Église un grand nombre de membres illustres du Corps Mystique du Christ. De même, le 23 juillet 2006, il a infailliblement précisé qu’il descendait par la lignée de son père, de Saint Fernando III, roi de Castille-et-León et de sa première épouse, Saint Béatrice de Suabia ; et par la lignée de sa mère de Saint Alphonse Sánchez de Cepeda et de sa deuxième épouse Sainte Béatrice de Ahumada, parents de la célèbre Réformatrice du Carmel, Sainte Thérèse de Jésus. Il a également défini dogmatiquement d’autres thèmes doctrinaux. En tant que Pape, il avait un grand intérêt à visiter différentes villes et pays et à célébrer la Sainte Messe partout où il posait ses Pieds Sacrés, car il pouvait faire germer la parole de Dieu, à l’imitation du Premier Pape Saint Pierre 1er, le Très Grand. Et ainsi, en accord avec cette aspiration, il était le premier Pape connu à avoir célébré la Sainte Messe en Russie, et pendant qu’il était là, il a célébré les Saintes Messes à Saint-Pétersbourg les 27 et 28 mai 2008 et à Moscou les 29, 30 et 31 mai 2008. À Moscou, il a consacré la Russie à la Sainte Face, à Notre Mère du Palmar Couronnée et au Très Saint Joseph du Palmar Couronné, pour implorer au Père Éternel la conversion rapide du peuple russe. Sa santé a commencé à décliner de manière alarmante à partir du début de l’année 2009 en raison de problèmes rénaux dont il souffrait depuis quelque temps. Il a dû subir plusieurs opérations. Au cours de l’une d’elles, qui a duré cinq heures, ils ont découvert qu’il avait un cancer de l’uretère. Ils ont donc décidé de couper l’uretère et de retirer le rein droit car il ne fonctionnait pas à cause de son atrophie. Ensuite, les problèmes sont devenus de plus en plus complexes, parce qu’ils ont détecté une tumeur très maligne, mais malgré les tests et les traitements auxquels il a été soumis, le cancer a continué à évoluer. Son désir d’être guéri, soumis à la volonté de Dieu, afin de pouvoir servir et travailler pour l’Église, le faisait souffrir énormément, car il était toujours conscient de son état grave, voyant qu’il avait de plus en plus besoin d’aide. Chaque jour qui passait était un peu plus mauvais. Cette maladie sapait toutes ses forces. Les médecins qui le soignaient ne savaient pas quoi dire à propos de la résistance de son corps. Ils ne pouvaient pas expliquer comment il était encore en vie. Il a dû recevoir d’innombrables médicaments et soins à partir de la Semaine Sainte 2011 jusqu’au jour de son décès. C’était une douleur immense de voir le Père Général de l’Église dépérir, de le voir perdre la parole, son sourire, son regard et son souffle. Les derniers jours de sa vie, il pouvait à peine manger ou boire, tout ce qui lui était fait était presque inutile. Sa maladie a eu des hauts et des bas, pour lesquels on a toujours pensé qu’il était dans ses derniers moments. Il avait répété à maintes reprises, en raison de son grand dévouement envers Sainte Thérèse, qu’il pensait que le jour de sa mort serait un quinze du mois, puisque la fête du Saint-Réformateur était également un quinze. Mais le 29 juin s’approchait, fête de Saint Pierre 1er, le Très Grand, et l’on pensait qu’il y arriverait à peine. Quelques jours plus tard, sa respiration se compliquait de manière alarmante. Avant que la Communauté des frères ne se rende à l’Office du soir qui commençait la veille de la fête du 16 juillet, tous les frères se sont rendus dans la cellule Papale pour dire au revoir au Saint-Père et lui donner leur Bénédiction, à cause de son très grave état de santé. C’était un souhait du Saint-Père, qui lui avait été accordé parce qu’il avait toujours voulu dire au revoir à tous avant de mourir, même s’il était inconscient. Quelques heures plus tard, il est mort dans les dépendances Papales du Couvent des Carmes de la Sainte Face du Lieu Sacré du Palmar de Troya, à 20h 07 du 15 juillet 2011, veille de la fête du 16 juillet, au même moment où, sur le Maître-Autel de la Cathédrale-Basilique, à la fin de la Procession Eucharistique quotidienne, on chantait le Salve Regina, pendant l’encensement final de l’Autel. Une fois préparé pour l’enterrement avec le linceul papal et les vêtements pontificaux de couleur blanche, il a été transféré au Presbytère du Maître-Autel de la Cathédrale-Basilique de Notre-Mère du Palmar Couronnée où il a reçu de grands signes d’amour filial de la part des frères, des religieuses et des fidèles palmariens venus pour le pèlerinage du 16 juillet. Les Saintes Messes ont été célébrées tout au long de la nuit et du lendemain, avec la récitation des prières propres aux pèlerinages. Le 16 juillet 2011 à 20h 00 le grand Enterrement Papale a eu lieu. Le Pape Saint-Pierre II, le Grand, a été canonisé solennellement le 17 juillet 2011. Il a été proclamé « Grand » et déclaré « Protecteur et Défenseur de la Sainte Église Chrétienne Palmarienne ». Déclaré Grand Docteur de l’Église le 26 juillet 2011, fête en l’honneur de Sainte Anne, Mère de la Très Sainte Vierge Marie.